Madjid - Deuxième Partie : LApprentissage Érotique De Madjid
Madjid, resta un long moment complètement figé ; comme abasourdi par ce qui venait de lui arriver. Nous étions toujours à genoux lun en face de lautre. Lui continuant de me regarder avec plein détoiles dans les yeux et un air de parfaite béatitude et de félicité de quelquun qui venait de vivre un évènement exceptionnel, parfaitement inattendu. Un évènement qui ne faisait peut-être même pas partie de ses fantasmes de jeune homme sevré de sexe. Il mavoua un peu plus tard quand nous sommes devenus aussi inséparables que des siamois quil sétait déjà fait sucer par une petite copine, quil fréquenta un long moment avant quelle ne le quitte pour se marier. Mais les petites fellations quelle lui faisait en tant quersatz de pénétration vaginale, qui lui était interdite par lobligation de garder intacte sa virginité étaient loin davoir lintensité de la baise buccale quil venait de pratiquer sur moi.
Il me paraissait un peu fatigué par leffort quil avait dû fournir et par limmense éjaculation quil avait eue. Il avait les yeux cernés que les hommes et les femmes avaient à la fin débats amoureux intenses. Un instant, javais eu peur quil ne débande et quil soit incapable de satisfaire mes immenses besoins sexuels. Je fus vite rassurée en voyant que son membre était resté en état dérection maximale. Le spectacle que je lui avais donné tantôt, en ramassant et en léchant goulument tout le sperme quil avait déversé sur mon visage et mon cou, lavait tellement excité, que son sexe avait gardé toute sa rigidité et continuait de pointer vers le plafond, tel un sabre menaçant.
Moi qui navait pas encore joui, et qui était dans un état de chaleur et dexcitation absolues, javais vraiment besoin de me faire tirer comme une chienne par mon jeune amant. Je voulais sentir la force et la vigueur de sa belle queue, entrain de limer énergiquement les parois de mes tunnels et y mettre le feu. Je voulais quil me fasse grimper aux rideaux.
Je me levai et allai massoir sur le bord du grand fauteuil à côté de nous. Je massis de manière impudique, en prenant soin de relever ostensiblement les pans de ma robe et de les rouler en boule sur le haut de mon bas-ventre. Je mettais ainsi en évidence mon pubis rebondi et ma petite culotte en soie noire. Je tendis les mains pour attr celles de Madjid et le tirer de manière à ce quil vienne se positionner entre mes genoux et faire face à ma chatte frémissante de désir, sous le fin tissu de soie.
- Bghit et-chouf souwti ? Nehi-li culott-ti ! (Tu veux voir ma chatte ? Enlève-moi la culotte !)
Il tendit la main gauche vers le haut de ma hanche droite. Il avait du mal à cacher une très forte émotion qui se manifestait par un irrépressible tremblement de sa main. Elle finit par se stabiliser et se poser sur ma peau. Je la sentis qui farfouillait frénétiquement sur le tissu, avant quun long doigt ne pénétrât sous lélastique de la culotte. Il fit la même chose avec sa main droite dont un doigt vint se placer sous la partie gauche de lélastique. Il hésita un moment avant de commencer à tirer doucement pour faire descendre la culotte le long de mes hanches, puis de mes cuisses. Il y allait trop précautionneusement pour mon goût. Javais hâte davoir la chatte à lair libre pour que mon jeune amant puisse la voir, ladmirer et en prendre possession. Je levai les hanches pour lui faciliter la tâche. Mais même comme cela, il avait du mal à parvenir à ses fins. Ses mains sétaient remises à trembler, comme si lémotion qui le submergeait était trop forte et lempêchait de se maîtriser.
- Edjbed ha bezzour ! Guetta3-ha ! (Tire la en force ! Déchire-là !)
Il hésita encore un moment, puis tira très fort avec ses deux mains.
- Rihat souwtek ! Ach-hal hloua! Rihat djenna! (Lodeur de ta chatte ! Comme elle est douce! Une odeur de paradis !)
- Chouf souwti ou gouli kifach rahi ! (Mate ma chatte et dis-moi comment elle est !)
Il jeta le bout de tissu quil humait frénétiquement et baissa la tête pour regarder entre mes cuisses. Je vis ses yeux sélargir et sa bouche souvrir très grand, comme sil était frappé de stupéfaction. Le spectacle quil avait sous les yeux le ravissait. Cétait comme sil navait encore jamais vu une chatte comme la mienne : belle et superbe ; magnifiquement entretenue. Je dois dire que jai toujours accordé un soin particulier à lentretien de mon intimité : toujours bien épilée, à lexception dune toute petite trace de poil, taillée en triangle, sur le pubis. Salim, mon mari, adorait la forme de ma chatte, quil avait photographiée sous tous les angles. Il disait que javais certainement la plus belle chatte du monde. Cétait certainement excessif, mais cela avait comme conséquence de me pousser à soigner au mieux son apparence. Et sans me vanter, ma chatte est vraiment belle et aucun homme normalement constitué (et même beaucoup de femmes) ne peut la mater et rester de marbre.
Les photographies faites par Salim, mavaient permis de mieux observer ma chatte et son environnement immédiat et à mieux men occuper. Elles montraient un pubis rond et bombé avec une petite touffe de poils noirs, super coquine et dun érotisme torride. En dessous une chatte dessinée au cordeau, avec des grandes lèvres longues et dodues, se terminant par une petite ouverture de forme triangulaire, qui ajoutait une forte dose dérotisme à lensemble.
- Yemma, ach-hal djmila ! 3amri ma cheft souwa kima hadhi ! Bghit nakoul ha ! (Maman comme elle est belle ! Je nai jamais vu une chatte comme celle-là ! Jai envie de la bouffer !)
- Koul ha ! Bouss ha ! El-hasha ! (Bouffe-la! Embrasse-la! Lèche-la !)
Et sans attendre quil réagisse à ma demande, je lui attrapai la tête et tirai sur elle pour la positionner entre mes cuisses largement entrouvertes. Jattendis un petit moment, quil shabitue au spectacle, et appuyai sur sa nuque pour le pousser à faire ce que je voulais quil fasse.
- Bouss ha ! (Embrasse-la !)
Et il lembrassa. Légèrement dabord. Puis avec de plus en plus de fougue ! Puis avec fureur ! Madjid apprenait très vite. Il savait dinstinct ce quil devait faire pour me donner du plaisir. Il ne leva pas la tête une seule fois, pour savoir si ce quil faisait à ma chatte, me procurait du plaisir. Il savait que cétait le cas. Jai toujours adoré me faire bouffer la chatte par les bouches gourmandes dhommes (et parfois même de femmes !).
Madjid se prit au jeu et avait décidé de me faire jouir avec sa bouche. Je la sentais qui tentait de sintroduire toute entière à lintérieur de la fente de mes grandes lèvre et dans mon vagin. Bien entendu, elle ny parvenait pas. Il se mit donc à lancer sa langue à lassaut de mon tunnel. Elle cherchait à aller tout au fond, mais était trop courte pour y parvenir. Il léchait, suçait, mordillait de temps en temps mon clito dur comme une pierre, mais tellement sensible que je ne pouvais mempêcher de crier de plaisir à chaque fois. Et il aspirait tout le jus que mon vagin produisait en quantité.
- Kemal hakdhak ! Ma tahbesch ! Koul el-hatchoun en-ta3 Warda! Achrab a3cel souwti ! (Continue comme cela ! Ne tarrête pas ! Bouffe la chatte de Warda ! Bois le miel de ma chatte !)
Je serrais très fort sa tête entre mes cuisses pour ne lui laisser aucun répit. Javais envie de jouir comme cela, avec et dans sa bouche. Je savais que je nallais pas tarder à avoir un énorme orgasme et je ne voulais pas quau moment suprême, il puisse se dérober. Je voulais vraiment décharger dans sa bouche et lobliger à boire tout le jus que ma chatte sécrétait en grande quantité. Je voulais quil nen perde aucune goutte. Et de fait je ne tardai pas à décharger, en hurlant tout mon plaisir, des litres de cyprine que mon jeune amant mettait tout son cur à boire. Il avait un peu de mal, tant la quantité de jus était importante, mais se fit un point dhonneur à tout avaler. Et même quand, repue et heureuse, je lâchai sa tête et écartai les cuisses pour la libérer, il resta encore un long moment à sucer mes petites lèvres et mon clitoris et lécher lintérieur de mon vagin pour y récolter les restes de cyprine qui pouvaient encore sy trouver. Ma chatte continuait de palpiter et je sentais encore mon clito tout dur qui frémissait sous les coups de langue de Madjid. Et il me donnait autant de plaisir quavant mon orgasme. Jétais certaine que sil continuait ainsi, jallais encore une fois jouir dans sa bouche.
Il nalla pas jusque là. Au bout de quelques minute de ce traitement, il sarrêta soudain et sorti sa tête dentre mes cuisses. Il la leva pour me regarder dans les yeux. Il avait les lèvres encore toutes luisantes de mouille et menvoya un splendide sourire dhomme satisfait de ce quil venait de réaliser. Ses yeux brillaient de fierté. Il était fier de mavoir fait jouir, uniquement avec sa bouche. Et certainement, il attendait à ce que je le remercie ou au moins que je le complimente sur ses capacités.
- Woulit radjel en-ta3 çah ! Nektni ghir be-foumek ! Ou tela3t-ni le sma essaba3 ! Wach istenani ma3a zebek ! (Tu es devenu un véritable homme ! Tu mas niquée uniquement avec ta bouche ! Et tu mas emmenée au septième ciel ! Quest-ce qui mattend avec ton zob !)
Il eut un sourire dhomme fier ! Il était maintenant complètement rassuré sur ses capacités damant à la hauteur ! Juste ce que je voulais ! Je savais que maintenant, il allait se déchainer sur moi, rien que pour se prouver à lui-même quil était un baiseur de première ! Les hommes sont comme cela : ils adorent montrer à leurs maîtresses quils sont les meilleurs. Quils ont les meilleurs coups de reins. Quils sont les plus résistants. Quils sont les plus altruistes. Et, pour mon immense plaisir, mon jeune amant ne faisait pas exception. Je savais maintenant que je pouvais exiger de lui de me tirer autant de fois que jen aurais besoin pour apaiser ma libido tyrannique.
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Javais gardé la position dans laquelle Madjid mavait appliqué, il y a seulement quelques minutes, un cunnilingus torride : à demi allongée sur le fauteuil, la robe dintérieure relevée et roulée en boule sur mon ventre, les jambes bien écartées et repliées de part et dautre de ma poitrine, présentant ainsi ma chatte ouverte et mon anus palpitant au regard concupiscent de mon jeune amant. Lui, il était resté à genoux devant le fauteuil et avait les yeux fixés sur mes deux trous, qui attendaient impatiemment dêtre pris dassaut. Je voulais quil me prenne immédiatement. A la hussarde ; brutalement ; par nimporte lequel de mes orifices. Je navais pas de préférence. Ce que je voulais, cétait dêtre prise ; dêtre pénétrée par le vigoureux engin que je voyais frémir dimpatience.
- Wach testena ? Dekhel hou-li ! Nik-ni ! Menin bghit ! Mel-goudam oula melour ! (Quest-ce que tu attends ? Pénètre-moi ! Nique-moi ! Par devant ou par derrière !)
- Mel goudam ! En-mout a3la hatchounek ! Bghit hatchounek! (Par devant ! Jadore ta chatte ! Je veux ta chatte ! )
Il essaya de positionner son manche au bon niveau, tout en restant à genoux. Il comprit quil ny arrivera pas comme cela. Je tendis ma main pour attr son zob et le tirai pour lapprocher de mes grandes lèvres. Il comprit quil lui fallait faire un petit effort supplémentaire pour être à la bionne hauteur. Il appuya ses mains sur le fauteuil pour avoir une meilleure assise, allongea ses jambes par terre pour mieux sappuyer sur ses orteils et mis ainsi son magnifique zob frémissant, au même niveau que ma chatte. Il ne semblait pas très à laise dans une telle position et devait fournir un effort physique soutenu pour aller jusquau bout de nos ébats. Cela ne le contraria pas pour autant. Il était à la bonne hauteur et pouvait ainsi me pénétrer en force et aller jusquau fond de mon vagin ; cela suffisait à son bonheur. Je le regardais faire avec les yeux brillant de désir et dimpatience. Jétais impatiente de sentir lengin prendre possession de ma vulve, la pénétrer sans précaution et mettre le feu dans mon vagin. Je métais mise en position dattente frénétique et javais le cur qui battait la chamade en attendant impatiemment la brutale poussée de son bassin qui allait ouvrir les réjouissances. Il ny avait pas besoin de préliminaires. Ma chatte dégoulinait de cyprine et était donc complètement lubrifiée.
Et il me pénétra, exactement comme je le voulais : en force et sans ménagement. Il voulait dès le premier coup atteindre le fond de mon vagin. Je ne pus mempêcher de pousser un petit cri de satisfaction. Mon jeune amant était exactement comme je lavais imaginé : inexpérimenté et brutal. Un régal pour moi ! Il faisait aller et venir sa belle queue de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je savais que sil continuait ainsi, il nallait pas tarder à jouir et à me laisser sur ma faim. Mais je le laissais faire un moment, tellement jaimais la force et la fureur avec laquelle il me tirait. Même si ma chatte avait beaucoup servi et avait été élargi par les manches monumentaux de mes amants passés, je sentais parfaitement bien celui qui était entrain de limer en force les parois de mon vagin et y allumait un véritable incendie. Je découvrais avec bonheur la force et la vigueur hors normes de la verge de mon jeune amant. Elle me faisait planer. Je sentais que jétais entrain de monter lentement vers le septième ciel et que lintensité du plaisir que jéprouvais augmentait au même rythme. Jétais au paradis ! Jaurais aimé que cela dure toute léternité.
Mais je savais que mon jeune amant ne résistera pas longtemps au rythme infernal des coups de reins quil mappliquait. Il nallait pas pouvoir empêcher larrivée trop rapide dun orgasme, avant que moi-même naie pu jouir. Et bien entendu, je ne voulais pas dune telle frustration. Il fallait que je le pousse à ralentir le rythme de ses coups de reins et à mieux répartir ses efforts. Je voulais lui apprendre à moduler le rythme de ses va-et-vient en moi, en fonction de ses sensations et de mes réactions. Lui apprendre à ralentir pour retenir la jouissance quil sentait arriver et accélérer quand les choses revenaient à la normale. Lui apprendre aussi à être maître de soi et surtout maître de moi : me faire jouir au moment où lui le décidera ! Je voulais en faire un expert en amour ! Je savais que Madjid avait létoffe pour devenir un amant vraiment à la hauteur. Il ne lui fallait quun peu dexpérience. Et cette expérience, cétait à moi de la lui assurer.
Tout en madressant à lui en arabe, je lançai mes mains pour lattr par la taille, bien décidée à lui imposer le bon rythme pour nous deux.
- Bla3qel hanouni! Ma tezrabch hakdha ! (Doucement mon chéri ! Ne te presse pas comme ça!) Zid nik Warda ! Nik ha bezzour ! Werrilha qouwat zebek ! En-hab zebek ! (Continue de baiser Warda ! Baise-la en force ! Montre-lui la puissance de ton zob ! Jaime ton zob !)
Tout en laguichant ainsi avec mes paroles impudiques et crues, je faisais en sorte dimposer, avec mes mains accrochés à sa taille, le rythme qui me convenait le mieux. Je tirais furieusement sur mes bras quand javais besoin quil accélère le furieux limage de mon vagin et ralentissait quand je sentais quil nallait pas pouvoir résister à lenvie déjaculer. Et cela dura ainsi un long, très long, moment. Je voyais le visage de mon jeune amant silluminer de bonheur et ses yeux briller de mille étoiles. Autant que moi, il était aux anges. Et il me le faisait savoir en prononçant, dabord de manière discrète, puis de plus en plus fort, des bribes de mots et de phrases aussi impudiques que celles que je prononçais moi-même.
- Hatchoun ! Souwa ! Mlih ! En-hab ! Hatchounek ! Zebi ! Zeb fel hatchoun ! (Chatte! Vagin! Bon! Jaime! Ta chatte! Mon zob! Mon zob dans ta chatte !)
- En-hass lou mlih! Rah yehrag fiya ! Ki elssefoud ! Berred-ni ! (Je le sens bien! Il me brule ! Comme un tison ! Refroidis-moi !)
- Hatchoun ! Hatchoun ! Hatch
! (Chatte ! Chatte ! Chatt
)
- Bghit en-chouffou ki yedkhoul ou yekhradj men hatchouni ! (Je veux le voir entrer et sortir dans ma chatte !)
Et vraiment, je voulais contempler la belle queue de Madjid entrain dentrer et de sortir de ma chatte. Jai toujours adoré le spectacle dun gros zob entrain de prendre possession de moi. En maidant de mes bras, qui poussèrent très fort sur la taille de mon amant, je réussis à lui faire sortir complètement sa queue de ma chatte et à la réintroduire une demi-seconde après. Je recommençais laction une deuxième, puis une troisième fois, jusquà ce quil comprenne ce que je voulais et quil la prenne en charge lui-même. Et il le fit avec application. Il y prit autant de plaisir que moi. Il faisait sortir complètement son manche de ma chatte, arrêtait un court moment pour contempler le spectacle du zob et de la chatte qui palpitaient dimpatience et le réintroduisait. Et à chaque fois, il poussait un petit rire de jubilation et de plaisir. Et moi aussi, je jubilais au spectacle que javais sous les yeux et à la magnifique sensation que le manche qui me possédait avec autant de vigueur provoquait en moi. Je sentais que je nallais plus tarder à avoir un orgasme de toute beauté. Javais envie de hurler pour exprimer tout le plaisir que mon jeune amant était entrain de me donner. Et je le fis !
- En-hab ! Mlih ! Zeb khchine ! I3âmarli ga3 hatchouni ! Yewdja3ni ! Yemma ! Yemma ! En-faragh ! Ahhhhhhhhh ! (Jaime ! Cest bon ! Un zob brutal ! Il remplit toute ma chatte ! Il me fait mal ! Maman ! Maman ! Je décharge ! Ahhhhh !)
Et sans que je puisse rien faire pour le retenir, jeus un énorme orgasme, qui me fit pousser un râle de plaisir tellement sonore, quil remplit complètement le salon et me revint en écho. Javais tous les muscles de mon corps tendus comme les cordes dun violon. Javais du mal à respirer. Je haletais tellement, que jeus peur de mourir étouffée ou de mévanouir. Je déchargeai tellement que je me mis à couler comme une fontaine sur le manche de mon amant qui continuait imperturbablement à aller et venir dans en moi, en partant de plus en plus loin. Les clapotis quil créait en passant à travers tout le jus que produisait mon vagin, augmentaient tellement de sonorité, que jétais sûre que tous les voisins devaient les entendre et se questionner sur leur provenance.
Et sans même men rendre compte, javais profondément planté mes ongles dans la chair de mon amant, faisant ainsi couler un filet de sang le long de sa taille. Et lui continuait à pilonner ma chatte pendant encore un moment, avant de pousser un énorme rugissement et exploser à lintérieur de mon vagin. Je pensais quaprès la première éjaculation quil avait eue tantôt dans ma bouche, il ne devait lui rester que très peu de sperme. Je me trompais totalement. Il en avait encore une quantité industrielle ! Cétait une vraie fabrique de foutre ! Il envoya plusieurs jets chauds et visqueux dans mon vagin, que les va-et-vient continus du membre faisaient ressortir en dehors. Je sentais le foutre couler en dessous de mes grandes lèvres, aller vers mon cul pour finir par sétaler par terre. Les derniers jets, Madjid les envoya directement sur mon bas ventre.
Quand, complètement vidé, Madjid arrêta de pilonner mon vagin, il se retira et se mit à contempler le spectacle de ma chatte qui continuait de palpiter et de couler de foutre mélangé à toute la cyprine quelle avait produite. Il riait tout doucement, comme si le spectacle quil avait sous les yeux était dune grande drôlerie. Et moi, du fond de la merveilleuse torpeur quavait créée lorgasme que javais eu, je regardai la queue de Madjid qui tenait encore la grande forme. Je jubilais ! Il était en mesure de me tirer encore une fois ! Et je voulais quil me tire une fois de plus ! Quil me fasse encore jouir ! Quil mencule !
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